Grâce au talent immense de notre photographe on remonte doucement la petite rue du Guichet, pavée, moyenâgeuse, avec ses façades sobres et ses volets fermés, pour découvrir dans l'échancrure des toits et des murs la sublime façade occidentale de la cathédrale Saint-Étienne, dans sa lumière dorée, chaude, comme une apparition, celle d'une cathédrale gothique splendide, toute en dentelle, avec sa rosace, ses vitraux, ses tours s'élançant dans la nuit noir étoilée, et deux portails sculptés à double porte nous attendent en haut d'un escalier, et on se dit qu'il est bien normal que cette cathédrale du XIIIe siècle figure depuis 1992 sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco...
On sait que George Sand est passée dans cette ruelle, venue de Nohant pour rencontrer à Bourges l'avocat qui plaida son divorce...On se promet aussi de lire Stendhal qui narre dans "Les mémoires d'un touriste" (1854) sa visite de Bourges le 20 juin 1837, texte en ligne sur le net...
Cette photographie très réussie rend hommage à cette façade joyau de citrine qui semble toute petite et précieuse alors qu'elle est la plus large des édifices gothiques de France avec ses 41 mètres. Merci Julien de nous surprendre à chaque fois.
C'est la cathédrale de Bourges qui a du talent, l'éclairage mis en place par la ville n'y est pas pour rien non plus. J'aime beaucoup cette perspective oblique qu'offre cette rue, en particulier la nuit !
Grâce au talent immense de notre photographe on remonte doucement la petite rue du Guichet, pavée, moyenâgeuse, avec ses façades sobres et ses volets fermés, pour découvrir dans l'échancrure des toits et des murs la sublime façade occidentale de la cathédrale Saint-Étienne, dans sa lumière dorée, chaude, comme une apparition, celle d'une cathédrale gothique splendide, toute en dentelle, avec sa rosace, ses vitraux, ses tours s'élançant dans la nuit noir étoilée, et deux portails sculptés à double porte nous attendent en haut d'un escalier, et on se dit qu'il est bien normal que cette cathédrale du XIIIe siècle figure depuis 1992 sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco...
RépondreSupprimerOn sait que George Sand est passée dans cette ruelle, venue de Nohant pour rencontrer à Bourges l'avocat qui plaida son divorce...On se promet aussi de lire Stendhal qui narre dans "Les mémoires d'un touriste" (1854) sa visite de Bourges le 20 juin 1837, texte en ligne sur le net...
Cette photographie très réussie rend hommage à cette façade joyau de citrine qui semble toute petite et précieuse alors qu'elle est la plus large des édifices gothiques de France avec ses 41 mètres. Merci Julien de nous surprendre à chaque fois.
C'est la cathédrale de Bourges qui a du talent, l'éclairage mis en place par la ville n'y est pas pour rien non plus. J'aime beaucoup cette perspective oblique qu'offre cette rue, en particulier la nuit !
SupprimerExcellent point de vue !
RépondreSupprimerN'est-il pas ?
Supprimerj'avais lu Bérurier et bien sur ça ne collait pas avec ta photo...
RépondreSupprimerElle semble dire qu'elle est là et qu'elle dominera toujours !
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