Nous sommes passés sous l'Arc de Germanicus, avons franchi le pont sur la Charente, nous nous sommes dirigés vers la Cathédrale Saint-Pierre, et notre photographe nous a montré le cloître, la très belle façade Sud et le jardin que voilà. Mon regard est attiré par la porte du fond qui semble épaisse et infranchissable. Elle me rappelle un passage de "Planétarium" de Nathalie Sarraute : "Cette petite porte dans l'épaisseur du mur au fond du cloître... en bois sombre, en chêne massif, délicieusement arrondie, polie par le temps... c'est cet arrondi surtout qui l'avait fascinée, c'était intime, mystérieux ..." Même si la porte n'est pas arrondie, le regard converge vers elle. Et puis cette dentelle de pierres et cette échappée vers le ciel pommelé de nuages inspirants, et le retour à la terre, aux plantes, aux fleurs, mais je ne vois pas de banc. On ne peut que déambuler sur le gravier blanc, se diriger vers la porte, vers une porte...
Merci Julien pour cette superbe photographie qui lève un coin du mystère de cette cathédrale aperçue à travers l'arc de triomphe.
La porte s'ouvre sur le croisillon Sud du transept, mais effectivement elle semblait close. Le jardin du cloître est particulièrement bien entretenu. On peut s'asseoir sur les margelles des passages couverts des galeries qu'on devine ici. Les cathédrales gardent toujours un nuage de mystère...
Nous sommes passés sous l'Arc de Germanicus, avons franchi le pont sur la Charente, nous nous sommes dirigés vers la Cathédrale Saint-Pierre, et notre photographe nous a montré le cloître, la très belle façade Sud et le jardin que voilà.
RépondreSupprimerMon regard est attiré par la porte du fond qui semble épaisse et infranchissable. Elle me rappelle un passage de "Planétarium" de Nathalie Sarraute : "Cette petite porte dans l'épaisseur du mur au fond du cloître... en bois sombre, en chêne massif, délicieusement arrondie, polie par le temps... c'est cet arrondi surtout qui l'avait fascinée, c'était intime, mystérieux ..." Même si la porte n'est pas arrondie, le regard converge vers elle.
Et puis cette dentelle de pierres et cette échappée vers le ciel pommelé de nuages inspirants, et le retour à la terre, aux plantes, aux fleurs, mais je ne vois pas de banc. On ne peut que déambuler sur le gravier blanc, se diriger vers la porte, vers une porte...
Merci Julien pour cette superbe photographie qui lève un coin du mystère de cette cathédrale aperçue à travers l'arc de triomphe.
La porte s'ouvre sur le croisillon Sud du transept, mais effectivement elle semblait close. Le jardin du cloître est particulièrement bien entretenu. On peut s'asseoir sur les margelles des passages couverts des galeries qu'on devine ici. Les cathédrales gardent toujours un nuage de mystère...
SupprimerLe gothique c'est mieux que le roman
RépondreSupprimerEt le Baroque italien encore mieux ? ;)
SupprimerPas sur...
SupprimerGrand angle !
RépondreSupprimerTu l'as dit Beebop !
Supprimer