Plus encore qu'aux gladiateurs d'antan, aux spectacles vivants, aux ballets, aux opéras en plein air, c'est à la terrible corrida que je pense en voyant cette arène et la belle chanson de Francis Cabrel m'empêche de regarder ce lieu sereinement :
"Depuis le temps que je patiente Dans cette chambre noire J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante Au bout du couloir Quelqu'un a touché le verrou Et j'ai plongé vers le grand jour J'ai vu les fanfares, les barrières Et les gens autour"
La photographie englobe le lieu et les barricades rouges. Rêve de beaux spectacles culturels.
Plus encore qu'aux gladiateurs d'antan, aux spectacles vivants, aux ballets, aux opéras en plein air, c'est à la terrible corrida que je pense en voyant cette arène et la belle chanson de Francis Cabrel m'empêche de regarder ce lieu sereinement :
RépondreSupprimer"Depuis le temps que je patiente
Dans cette chambre noire
J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante
Au bout du couloir
Quelqu'un a touché le verrou
Et j'ai plongé vers le grand jour
J'ai vu les fanfares, les barrières
Et les gens autour"
La photographie englobe le lieu et les barricades rouges.
Rêve de beaux spectacles culturels.
Je n'y serais pas allé s'il y avait eu des taureaux !
SupprimerUne chanson très évocatrice de Cabrel.
Les Romains remercient
RépondreSupprimer:)
SupprimerElles méritent bien le grand angle !
RépondreSupprimerJe trouve aussi !
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