Après les falaises géantes vues de l'océan Atlantique, retour sur l'île et la caldeira du Teide où l'on retrouve les somptueuses curiosités géologiques de cette terre volcanique.
Julien est monté jusqu'en haut du Teide, ou pas loin du sommet, pour observer cet immense cratère de presque 17km de diamètre et faire quelques photographies dont lui seul a le secret. Nous sommes ainsi face à un paysage lunaire, âpre et une palette de couleurs à désespérer un peintre, des formations volcaniques en forme de bêtes ou de monstres comme marchant au premier plan, puis des nappes de neige immortelle, ensuite les coulées de lave tachetées, l'écrin des parois de lave, et le ciel moutonneux, une vraie peinture.
Il est étonnant qu'une impression de mouvement des roches se dégage de ce paysage aride et cependant figé. Un romancier de science-fiction y trouverait l'inspiration, un poète, un haijin ferait chanter ses mots pour traduire l'immensité, le côté désertique, les rochers aux mille visages, aux corps disloqués. Mais c'est le peintre qui serait jaloux de la photographie qui excelle ici à montrer l'insolite aussi bien dans les couleurs que dans les matières.
La vue est plus impressionnante que celle du haut de l'Etna et la palette de couleur effectivement incroyable en particulier lorsqu'il y a de la neige au sol !
Après les falaises géantes vues de l'océan Atlantique, retour sur l'île et la caldeira du Teide où l'on retrouve les somptueuses curiosités géologiques de cette terre volcanique.
RépondreSupprimerJulien est monté jusqu'en haut du Teide, ou pas loin du sommet, pour observer cet immense cratère de presque 17km de diamètre et faire quelques photographies dont lui seul a le secret. Nous sommes ainsi face à un paysage lunaire, âpre et une palette de couleurs à désespérer un peintre, des formations volcaniques en forme de bêtes ou de monstres comme marchant au premier plan, puis des nappes de neige immortelle, ensuite les coulées de lave tachetées, l'écrin des parois de lave, et le ciel moutonneux, une vraie peinture.
Il est étonnant qu'une impression de mouvement des roches se dégage de ce paysage aride et cependant figé. Un romancier de science-fiction y trouverait l'inspiration, un poète, un haijin ferait chanter ses mots pour traduire l'immensité, le côté désertique, les rochers aux mille visages, aux corps disloqués.
Mais c'est le peintre qui serait jaloux de la photographie qui excelle ici à montrer l'insolite aussi bien dans les couleurs que dans les matières.
Merci Julien. On ne se lasse pas de Tenerife!
La vue est plus impressionnante que celle du haut de l'Etna et la palette de couleur effectivement incroyable en particulier lorsqu'il y a de la neige au sol !
SupprimerNe pouvant accéder telle altitude je ne peux qu'admirer le fruit offert par cette photo superbe dont Nadine parle merveilleusement bien ! Geneviève
RépondreSupprimerQuasi tout le monde peut y accéder :)
Supprimer