Sur le site de Géo on peut lire : "Les chutes marquent une frontière naturelle entre le Canada et les États-Unis, situées de part et d’autre du fleuve Niagara. Côté américain elles sont rectilignes, tandis que côté canadien, elles forment un fer à cheval."
La photographie de Julien montre bien les Niagara Falls américaines, mais c'est l'ambiance onirique et féérique qui domine cet instantané tout en or, en bleu métallique, en argent, avec cet arbre éphémère fixé à jamais sur la pellicule, une sorte de palmier qui se penche vers les Chutes... Les peintres (surtout au XIXe siècle) ont souvent joué sur la lumière et les dégradés de bleu, je pense à ce tableau du paysagiste Frederic Edwin Church "Niagara Falls" (american side), 1867, exposé à la Galerie nationale d’Écosse, à Édimbourg. Mais aucun ne peut se mesurer à la photographie de Julien, nocturne et étincelante, mystérieuse, avec ses bâtiments couronnés d'un éclairage discret, sur l'autre rive...
L'arbre-bouquet d'or et d'argent vole la vedette aux chutes et à la rivière, éphémère artifice qui a plu à notre photographe toujours à l'affût des jeux de lumière.
Merci Julien pour cette vision très personnelle des Niagara Falls magiques dans leur manteau bleu klein et leur fugace bijou pyrotechnique...
Sur le site de Géo on peut lire : "Les chutes marquent une frontière naturelle entre le Canada et les États-Unis, situées de part et d’autre du fleuve Niagara. Côté américain elles sont rectilignes, tandis que côté canadien, elles forment un fer à cheval."
RépondreSupprimerLa photographie de Julien montre bien les Niagara Falls américaines, mais c'est l'ambiance onirique et féérique qui domine cet instantané tout en or, en bleu métallique, en argent, avec cet arbre éphémère fixé à jamais sur la pellicule, une sorte de palmier qui se penche vers les Chutes...
Les peintres (surtout au XIXe siècle) ont souvent joué sur la lumière et les dégradés de bleu, je pense à ce tableau du paysagiste Frederic Edwin Church "Niagara Falls" (american side), 1867, exposé à la Galerie nationale d’Écosse, à Édimbourg. Mais aucun ne peut se mesurer à la photographie de Julien, nocturne et étincelante, mystérieuse, avec ses bâtiments couronnés d'un éclairage discret, sur l'autre rive...
L'arbre-bouquet d'or et d'argent vole la vedette aux chutes et à la rivière, éphémère artifice qui a plu à notre photographe toujours à l'affût des jeux de lumière.
Merci Julien pour cette vision très personnelle des Niagara Falls magiques dans leur manteau bleu klein et leur fugace bijou pyrotechnique...
Nous pensions être passés à côté de la période des feux d'artifice. Nous avons finalement eu une bonne surprise à la nuit tombée !
SupprimerJulien je ne reçois plus tes news et je dois te chercher....Si tu viens chez Marenostrum je pourrai te suivre mieux! Désolée vraiment
RépondreSupprimerMets-moi dans tes favoris ;)
SupprimerJ'ai peu de temps libre pour le blog en ce moment mais je passe chez toi dès que je peux.
Ajouter de l'artifice au naturel...c'est canon!
RépondreSupprimerArtifice et poudre à canon !
SupprimerComme un palmier lumineux qui se penche vers les flots , tout un poème !
RépondreSupprimerGenevieve
En effet, vraiment la forme d'un palmier !
SupprimerMagnifique mariage entre le feu et l'eau !
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