Ce magnifique jardin a été créé par Lady Florence Trevelyan (1952-1907) qui acheta en 1890 une propriété à Taormine où elle donna vie à son art, son don du jardinage, s'inspirant à la fois des jardins anglais de son enfance, des plantes et des arbres siciliens et en introduisant aussi des fleurs, des arbustes exotiques. C'est en 1922-1923 que sa propriété est ouverte au public comme un grand parc merveilleux... Le fantôme de D.H. Lawrence traverse ce parc, l'auteur de "L'Amant de Lady Chatterley" (1928) était un amoureux fou de Taormine et a dû souvent rencontrer Lady Florence Trevelyan...
Cette photographie est somptueuse, les oliviers et leurs feuillages vert argenté, leurs troncs noueux, tout ce tapis de fleurs au premier plan évoque les paysages printaniers de Klimt, des fleurs modestes qui nous invitent à vivre , à garder un regard ébloui d'enfant...En arrière-plan, on devine davantage qu'on ne le voit, peut-être l'Etna, la mer, la côte...
Merci Julien pour ce jardin public très à l'anglaise, sans préciosité, avec un très beau premier-plan klimtien qui rappelle les toiles horticoles du peintre...
La résolution diminuée que je dois utiliser ici appauvrit, malheureusement, la richesse du premier plan et des feuilles d'oliviers. Au fond, il y a un genre de précipice qui surplombe la côte et bien sûr la silhouette de l'Etna.
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Ce magnifique jardin a été créé par Lady Florence Trevelyan (1952-1907) qui acheta en 1890 une propriété à Taormine où elle donna vie à son art, son don du jardinage, s'inspirant à la fois des jardins anglais de son enfance, des plantes et des arbres siciliens et en introduisant aussi des fleurs, des arbustes exotiques. C'est en 1922-1923 que sa propriété est ouverte au public comme un grand parc merveilleux...
RépondreSupprimerLe fantôme de D.H. Lawrence traverse ce parc, l'auteur de "L'Amant de Lady Chatterley" (1928) était un amoureux fou de Taormine et a dû souvent rencontrer Lady Florence Trevelyan...
Cette photographie est somptueuse, les oliviers et leurs feuillages vert argenté, leurs troncs noueux, tout ce tapis de fleurs au premier plan évoque les paysages printaniers de Klimt, des fleurs modestes qui nous invitent à vivre , à garder un regard ébloui d'enfant...En arrière-plan, on devine davantage qu'on ne le voit, peut-être l'Etna, la mer, la côte...
Merci Julien pour ce jardin public très à l'anglaise, sans préciosité, avec un très beau premier-plan klimtien qui rappelle les toiles horticoles du peintre...
La résolution diminuée que je dois utiliser ici appauvrit, malheureusement, la richesse du premier plan et des feuilles d'oliviers. Au fond, il y a un genre de précipice qui surplombe la côte et bien sûr la silhouette de l'Etna.
SupprimerJ'aime beaucoup ce contraste entre les couleurs de ce superbe olivier et les fleurs à ses pieds !
RépondreSupprimeritaliano perfetto!! 10/10
RépondreSupprimerGrazzie mille :)
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