Et tout près de ces belles chaumières à colombages que nous avons admirées sur l'une des photographies précédentes de Veules-les-Roses, étonnés de son double visage de campagne et de mer, nous retrouvons la plage, admirée sur une autre photographie "Estran équinoxial", paysage déroutant, comme surgi d'une autre planète, c'est ici la normalité des grandes marées qui apparaît avec tous les éléments classiques, la premier plan de galets par nappes géométriques, la houle teintant de vert laiteux la Manche, une grande vague se fracassant contre une digue, grande flamme de mousseline blanche, geyser glacial, et les falaises d'albâtre montant la garde, survolées par les goélands et les mouettes, une luminosité saturée d'humidité...
Notre photographe nous donne froid avec cette vue, cette mer agitée qui va, comme le craignait déjà Victor Hugo tant amoureux de cette région et du village, mordre, grignoter, saper le pied des falaises, créer des éboulements, faire reculer la côte...Déjà Victor Hugo le disait dans un discours à la Chambre des Pairs le 1er juillet 1846 : "Il faut très peu de temps aux flots de la mer pour dégrader une côte, un siècle ou deux suffisent, quelquefois moins de cinquante ans, quelquefois un coup d'équinoxe..." Visionnaire sur tant de points, notre Victor Hugo...
Deux promeneurs semblent à l'abri sur la jetée ou la digue qui avance vers la mer, minuscules, mais pas un bateau...
Merci Julien pour cette autre variation du lieu, Veules-les-Roses, ici sa plage soumise à la puissance de la marée.
Je sens d'ici l'air iodé ! Un des plus beaux endroits pour voir les falaises qui caractérisent cette partie de la Normandie. En plus sous le soleil, ce qui n'est pas le plus fréquent.
Et tout près de ces belles chaumières à colombages que nous avons admirées sur l'une des photographies précédentes de Veules-les-Roses, étonnés de son double visage de campagne et de mer, nous retrouvons la plage, admirée sur une autre photographie "Estran équinoxial", paysage déroutant, comme surgi d'une autre planète, c'est ici la normalité des grandes marées qui apparaît avec tous les éléments classiques, la premier plan de galets par nappes géométriques, la houle teintant de vert laiteux la Manche, une grande vague se fracassant contre une digue, grande flamme de mousseline blanche, geyser glacial, et les falaises d'albâtre montant la garde, survolées par les goélands et les mouettes, une luminosité saturée d'humidité...
RépondreSupprimerNotre photographe nous donne froid avec cette vue, cette mer agitée qui va, comme le craignait déjà Victor Hugo tant amoureux de cette région et du village, mordre, grignoter, saper le pied des falaises, créer des éboulements, faire reculer la côte...Déjà Victor Hugo le disait dans un discours à la Chambre des Pairs le 1er juillet 1846 : "Il faut très peu de temps aux flots de la mer pour dégrader une côte, un siècle ou deux suffisent, quelquefois moins de cinquante ans, quelquefois un coup d'équinoxe..." Visionnaire sur tant de points, notre Victor Hugo...
Deux promeneurs semblent à l'abri sur la jetée ou la digue qui avance vers la mer, minuscules, mais pas un bateau...
Merci Julien pour cette autre variation du lieu, Veules-les-Roses, ici sa plage soumise à la puissance de la marée.
Victor Hugo devait apprécier la dualité terre-mer du village.
SupprimerJe sens d'ici l'air iodé ! Un des plus beaux endroits pour voir les falaises qui caractérisent cette partie de la Normandie. En plus sous le soleil, ce qui n'est pas le plus fréquent.
RépondreSupprimerIl fait (presque) toujours beau en Normandie, sinon il suffit d'attendre que le temps change.
SupprimerLa mer attaque!
RépondreSupprimerComme chez Miyazaki !
SupprimerTrès bien prise la vague !
RépondreSupprimerCoin superbe de Normandie .
Une déferlante !
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