Nous retrouvons la plus petite île des huit îles canariennes : la Graciosa, une surface de 25 kilomètres carrés, une longueur de 8 kilomètres et 700 habitants environ...
La photographie porte les couleurs de l'île que l'on sait sans route goudronnée ni pavée, dépourvue d'eau et désertique. Le premier plan sablonneux a la couleur miel du sable, la végétation y est pauvre, quelques succulentes d'un vert tendre y poussent, c'est la grande sécheresse propre à l'île. Le sol n'est pas plat, marcher ne semble pas très facile ni agréable. Serait-ce un oiseau blanc et beige que nous apercevons parmi ces racines mortes? Un oiseau dodu? Ou alors un mirage?
Le groupe des surfeurs indique la proximité d'une plage, ils marchent avec détermination, délectation et la belle énergie de la jeunesse, vers une plage où les vagues espérées seront au rendez-vous de leurs défis, de leur passion, de leur sport. Petit groupe d'habitués devisant en portant chacun leur planche comme si elle était légère...
Les surfeurs semblent longer une falaise et l'on retrouve le bleuté mauve des roches volcaniques puis le ciel laiteux, presque céladon, avec un zeste de rose, et ces couleurs pastel sont comme dans un rêve.
Il fait sec. Il fait chaud. L'Océan atlantique est tout près pour que ces jeunes gens se mesurent à la puissance des vagues.
Cette belle photographie nous raconte une histoire de complicité et d'amitié, un lieu sauvage, et derrière ces silhouettes la tranquille futilité humaine, le goût de la glisse et ce tableau tout en horizontalité donne une impression de grand espace alors que la Gracieuse est si petite... Merci Julien.
Le climat est effectivement aride et la tache blanche me semble être une pierre (sur photo en haute résolution). Les surfeurs revenaient de la plage qui est tout à fait sur la droite. La falaise volcanique se trouve en fait nettement à l'arrière mais la photo 2D écrase les distances... Pendant cette randonnée de 2h30, ces personnages furent quasiment les seuls aperçus !
Nous retrouvons la plus petite île des huit îles canariennes : la Graciosa, une surface de 25 kilomètres carrés, une longueur de 8 kilomètres et 700 habitants environ...
RépondreSupprimerLa photographie porte les couleurs de l'île que l'on sait sans route goudronnée ni pavée, dépourvue d'eau et désertique.
Le premier plan sablonneux a la couleur miel du sable, la végétation y est pauvre, quelques succulentes d'un vert tendre y poussent, c'est la grande sécheresse propre à l'île. Le sol n'est pas plat, marcher ne semble pas très facile ni agréable. Serait-ce un oiseau blanc et beige que nous apercevons parmi ces racines mortes? Un oiseau dodu? Ou alors un mirage?
Le groupe des surfeurs indique la proximité d'une plage, ils marchent avec détermination, délectation et la belle énergie de la jeunesse, vers une plage où les vagues espérées seront au rendez-vous de leurs défis, de leur passion, de leur sport. Petit groupe d'habitués devisant en portant chacun leur planche comme si elle était légère...
Les surfeurs semblent longer une falaise et l'on retrouve le bleuté mauve des roches volcaniques puis le ciel laiteux, presque céladon, avec un zeste de rose, et ces couleurs pastel sont comme dans un rêve.
Il fait sec. Il fait chaud. L'Océan atlantique est tout près pour que ces jeunes gens se mesurent à la puissance des vagues.
Cette belle photographie nous raconte une histoire de complicité et d'amitié, un lieu sauvage, et derrière ces silhouettes la tranquille futilité humaine, le goût de la glisse et ce tableau tout en horizontalité donne une impression de grand espace alors que la Gracieuse est si petite...
Merci Julien.
Le climat est effectivement aride et la tache blanche me semble être une pierre (sur photo en haute résolution). Les surfeurs revenaient de la plage qui est tout à fait sur la droite. La falaise volcanique se trouve en fait nettement à l'arrière mais la photo 2D écrase les distances... Pendant cette randonnée de 2h30, ces personnages furent quasiment les seuls aperçus !
SupprimerMerci Julien pour ces précisions!
SupprimerCourageux et téméraires
RépondreSupprimerSur l'eau puis sur le sable brûlant !
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