On oublie tout ce que Madère a offert à l'objectif de notre photographe : Funchal, la végétation luxuriante, les portes peintes, les monuments, la flore riche et colorée, et l'on se précipite à l'extrême pointe orientale de l'île, tout au bout de cette longue péninsule sauvage très en contraste avec les lieux habités, le parc botanique Monte Palace...
Notre photographe a dû marcher longtemps pour accéder à ce point de vue étonnant où les falaises volcaniques, arides, escarpées, plongent dans l’Océan Atlantique qui revêt les bleus méditerranéens nuancés de vert profond au bord. Une vision spontanée : le rocher à gauche semble avancer vers le large, une femme de dos vêtue d'une lourde robe à crinoline sous un manteau d'écorces grises, elle s'est détachée de la côte, suivie d'un petit bloc plus animal qui tourne la tête ailleurs, vers les deux rochers rouges, deux bateaux aux voiles de jaspe... Une rare végétation au ras du sol d'un vert tendre et délicat alterne avec les veinures du basalte. L'horizon céruléen et le ciel parcouru de nuages presque mauves sont le rideau mouvant de ce paysage minéral et figé auquel notre photographe a donné un mouvement.
La randonnée n'est pas très difficile mais elle ne procure aucun coin d'ombre, il ne faut pas oublier l'eau (comme moi la première fois...). Pour arriver jusqu'à ce point il faut peut-être 1h30 de marche et d'un peu de dénivelé. La balade est 100% minérale côté terre et 100% océanique côté mer. L'une des plus belles en "Europe" ! Bravo pour votre interprétation poétique de la forme des rochers !
Quels superbes coloris ! . Moi je vois , dans les plus petits rochers , trois petits canards qui se suivent entre les grands rochers et vers le large !
On oublie tout ce que Madère a offert à l'objectif de notre photographe : Funchal, la végétation luxuriante, les portes peintes, les monuments, la flore riche et colorée, et l'on se précipite à l'extrême pointe orientale de l'île, tout au bout de cette longue péninsule sauvage très en contraste avec les lieux habités, le parc botanique Monte Palace...
RépondreSupprimerNotre photographe a dû marcher longtemps pour accéder à ce point de vue étonnant où les falaises volcaniques, arides, escarpées, plongent dans l’Océan Atlantique qui revêt les bleus méditerranéens nuancés de vert profond au bord.
Une vision spontanée : le rocher à gauche semble avancer vers le large, une femme de dos vêtue d'une lourde robe à crinoline sous un manteau d'écorces grises, elle s'est détachée de la côte, suivie d'un petit bloc plus animal qui tourne la tête ailleurs, vers les deux rochers rouges, deux bateaux aux voiles de jaspe...
Une rare végétation au ras du sol d'un vert tendre et délicat alterne avec les veinures du basalte.
L'horizon céruléen et le ciel parcouru de nuages presque mauves sont le rideau mouvant de ce paysage minéral et figé auquel notre photographe a donné un mouvement.
Merci Julien.
La randonnée n'est pas très difficile mais elle ne procure aucun coin d'ombre, il ne faut pas oublier l'eau (comme moi la première fois...). Pour arriver jusqu'à ce point il faut peut-être 1h30 de marche et d'un peu de dénivelé. La balade est 100% minérale côté terre et 100% océanique côté mer. L'une des plus belles en "Europe" !
SupprimerBravo pour votre interprétation poétique de la forme des rochers !
Une bouffée de fraîcheur en plus...! Merci !
RépondreSupprimerIl n'y fait pas si frais que ça !
SupprimerQuels superbes coloris ! . Moi je vois , dans les plus petits rochers , trois petits canards qui se suivent entre les grands rochers et vers le large !
RépondreSupprimerAh tieng ! Des canards !
SupprimerIls ont bien raison de profiter du décor unique.
rose et bleu romantique à souhait
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