Bordée par le Grand Morin, Crécy-la-Chapelle est effectivement surnommée "La Venise briarde", l'eau est toujours présente lors des promenades et l'on rencontre des lavoirs, des passerelles, des moulins datant du Moyen-Âge...
Annabel Simms, une écrivaine américaine, décrit ainsi cette ville née de la fusion entre les communes de Crécy-en-Brie et de la Chapelle-sur-Crécy:
"C’est cette continuité du passé et du présent qui laisse au visiteur de Crécy l’impression la plus persistante. Quand je descends du train, je m’assieds sur un des bancs surplombant le canal extérieur, avant de traverser le petit pont à l’entrée de la ville. La contemplation des vieilles maisons surplombant l’eau, chacune avec son jardin et son pont miniature, le chant des oiseaux, les canards se dandinant devant mon banc, le bavardage tranquille des femmes surveillant leurs enfants, un jeune qui passe en vélo qui crie «Bonjour Madame », tout ceci fait naître en moi un grand soupir de contentement, à mesure que je m’imprègne de l’esprit du lieu. Je ne suis plus à Paris." (in "An hour from Paris")...
La photographie de Julien est superbe, l'eau verte et les maisons aux jardins fleuris, on se sent ailleurs...
Un des joyaux de la Seine-et-Marne ! Et un havre de paix !
RépondreSupprimerMais un peu moins fleuri qu'il y a quelques années...
Supprimerça manque de palais quand meme
RépondreSupprimerCe n'est pas la vraie ;)
SupprimerBordée par le Grand Morin, Crécy-la-Chapelle est effectivement surnommée "La Venise briarde", l'eau est toujours présente lors des promenades et l'on rencontre des lavoirs, des passerelles, des moulins datant du Moyen-Âge...
RépondreSupprimerAnnabel Simms, une écrivaine américaine, décrit ainsi cette ville née de la fusion entre les communes de Crécy-en-Brie et de la Chapelle-sur-Crécy:
"C’est cette continuité du passé et du présent qui laisse au visiteur de Crécy l’impression la plus persistante. Quand je descends du train, je m’assieds sur un des bancs surplombant le canal extérieur, avant de traverser le petit pont à l’entrée de la ville. La contemplation des vieilles maisons surplombant l’eau, chacune avec son jardin et son pont miniature, le chant des oiseaux, les canards se dandinant devant mon banc, le bavardage tranquille des femmes surveillant leurs enfants, un jeune qui passe en vélo qui crie «Bonjour Madame », tout ceci fait naître en moi un grand soupir de contentement, à mesure que je m’imprègne de l’esprit du lieu. Je ne suis plus à Paris." (in "An hour from Paris")...
La photographie de Julien est superbe, l'eau verte et les maisons aux jardins fleuris, on se sent ailleurs...
Merci Julien.
J'aime retourner régulièrement dans cet ailleurs qui est un peu chez moi.
SupprimerTon presque "chez toi" a beaucoup de charme Julien . Je comprends que tu y reviennes !
RépondreSupprimerIl y a maintenant une immense volière à visiter dans le coin !
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