L'église de Wies est l'une des plus belles églises de pèlerinage, construite à l'occasion d'un miracle, presque au milieu d'un pré. Elle a été achevée au milieu du XVIIIe siècle et doit sa valeur reconnue universellement à son emplacement et surtout à sa coupole, ces plafonds peints en trompe-l’œil, un ruissellement de lumière et de couleurs, comme un ciel chatoyant traversé de guirlandes et peuplé d'anges légers...
Georges Brunel, grand spécialiste de la restauration des églises, historien de l'art, auteur d'un livre sur le peintre Boucher, écrit à propos de cette coupole : "Au plafond, dans un ciel clair où s'enroulent des guirlandes d'anges, un trône vide attend le juge suprême, en face de la porte du paradis encore fermée. Ce sont les préparatifs du Jugement dernier que Johann Baptist Zimmermann a représentés ; mais comment ne pas se sentir d'avance élu et sauvé, dans cette atmosphère irréelle où la promesse des voluptés surnaturelles semble déjà réalisée ?"
Notre photographe est envoûté lui aussi par cette radieuse fresque où domine l'impression d'un monde sans pesanteur, où l'on a l'impression de toucher les soieries des vêtements, les ailes d'or des anges et d'entendre la musique céleste, et l'on envie les musiciens qui organisent des concerts dans cette église et les visiteurs charmés par l'orgue et la musique...
Merci Julien d'avoir embrassé pour nous l'ensemble de la coupole dans sa légèreté diaphane, cet espace de lumière qui traverse un ciel bleu myosotis, une merveille.
La première fois que j'y suis allé, j'ai eu la chance d'avoir un petit concert d'orgue. La seconde, non. Mais il y avait beaucoup moins de touristes (pandémie). J'ai pu embrasser la totalité de la voûte avec un objectif grand angle.
Coupole rayonnante de clarté, oui Nadine , on se sent d'avance tous élus et sauvés :) T Bonne prise d'angle pour cette belle photographie, bravo pour son ampleur !
L'église de Wies est l'une des plus belles églises de pèlerinage, construite à l'occasion d'un miracle, presque au milieu d'un pré. Elle a été achevée au milieu du XVIIIe siècle et doit sa valeur reconnue universellement à son emplacement et surtout à sa coupole, ces plafonds peints en trompe-l’œil, un ruissellement de lumière et de couleurs, comme un ciel chatoyant traversé de guirlandes et peuplé d'anges légers...
RépondreSupprimerGeorges Brunel, grand spécialiste de la restauration des églises, historien de l'art, auteur d'un livre sur le peintre Boucher, écrit à propos de cette coupole : "Au plafond, dans un ciel clair où s'enroulent des guirlandes d'anges, un trône vide attend le juge suprême, en face de la porte du paradis encore fermée. Ce sont les préparatifs du Jugement dernier que Johann Baptist Zimmermann a représentés ; mais comment ne pas se sentir d'avance élu et sauvé, dans cette atmosphère irréelle où la promesse des voluptés surnaturelles semble déjà réalisée ?"
Notre photographe est envoûté lui aussi par cette radieuse fresque où domine l'impression d'un monde sans pesanteur, où l'on a l'impression de toucher les soieries des vêtements, les ailes d'or des anges et d'entendre la musique céleste, et l'on envie les musiciens qui organisent des concerts dans cette église et les visiteurs charmés par l'orgue et la musique...
Merci Julien d'avoir embrassé pour nous l'ensemble de la coupole dans sa légèreté diaphane, cet espace de lumière qui traverse un ciel bleu myosotis, une merveille.
La première fois que j'y suis allé, j'ai eu la chance d'avoir un petit concert d'orgue. La seconde, non. Mais il y avait beaucoup moins de touristes (pandémie). J'ai pu embrasser la totalité de la voûte avec un objectif grand angle.
Supprimermeringues!
RépondreSupprimerEt gâteau crémeux !
SupprimerCoupole rayonnante de clarté, oui Nadine , on se sent d'avance tous élus et sauvés :)
RépondreSupprimerT
Bonne prise d'angle pour cette belle photographie, bravo pour son ampleur !
L'ampleur du grand angle, mais pas au ralenti ;)
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