Souvent c'est l'ascension vers l'édifice religieux qui est montrée, on peut imaginer l'escalier et ses nombreuses marches et la façade de l'église... Notre photographe amoureux de Madère et de Funchal a choisi le contraire, on sort avec lui de l'église, on s'évade dans cet espace entre le lieu de culte et le retour à l'extérieur, et le parvis est le sas invisible de ce moment où, encore sous la majesté des voûtes, derrière les piliers et leurs ombres, on découvre la splendeur du panorama, la sublime baie de Funchal, l'océan et le ciel confondus à l'horizon, une nappe de nuages...
Le rideau de décorations évoque la période de Noël, avec discrétion, comme de fragiles fils de la vierge tendus sur la partie supérieure du ciel bleu myosotis.
Notre photographe a le regard d'un peintre, un peu de mouvement, une construction majestueuse. Le parvis comme scène de théâtre ouvrant sur le monde extérieur, les merveilles de ses portes peintes, du street art coloré et inventif des peintres de rue, la végétation insulaire et ses jardins, les grandes crèches aux orchidées...
Merci Julien pour ce tableau traversé au premier plan par quelques petites feuilles d'automne et une luminosité hivernale. Merci pour cette bouffée d'air océanique.
J'ai trouvé intéressant d'inverser la vue et de me tourner vers l'impressionnant horizon océanique à perte de vue... En effet beaucoup plus bas, à Funchal, la rue Santa Maria présente des portes au décor sans cesse changeant !
Souvent c'est l'ascension vers l'édifice religieux qui est montrée, on peut imaginer l'escalier et ses nombreuses marches et la façade de l'église...
RépondreSupprimerNotre photographe amoureux de Madère et de Funchal a choisi le contraire, on sort avec lui de l'église, on s'évade dans cet espace entre le lieu de culte et le retour à l'extérieur, et le parvis est le sas invisible de ce moment où, encore sous la majesté des voûtes, derrière les piliers et leurs ombres, on découvre la splendeur du panorama, la sublime baie de Funchal, l'océan et le ciel confondus à l'horizon, une nappe de nuages...
Le rideau de décorations évoque la période de Noël, avec discrétion, comme de fragiles fils de la vierge tendus sur la partie supérieure du ciel bleu myosotis.
Notre photographe a le regard d'un peintre, un peu de mouvement, une construction majestueuse. Le parvis comme scène de théâtre ouvrant sur le monde extérieur, les merveilles de ses portes peintes, du street art coloré et inventif des peintres de rue, la végétation insulaire et ses jardins, les grandes crèches aux orchidées...
Merci Julien pour ce tableau traversé au premier plan par quelques petites feuilles d'automne et une luminosité hivernale.
Merci pour cette bouffée d'air océanique.
J'ai trouvé intéressant d'inverser la vue et de me tourner vers l'impressionnant horizon océanique à perte de vue...
SupprimerEn effet beaucoup plus bas, à Funchal, la rue Santa Maria présente des portes au décor sans cesse changeant !
Ah, les magiques photographies de ces portes peintes, leurs couleurs vives, leurs dessins inspirés! J'ai adoré!
Supprimerciel et océan confondus
RépondreSupprimerCe qu'on voit mieux quand on est en altitude ! Mais tu sais que je vole ;)
SupprimerDu bonheur à l'horizon !
RépondreSupprimerDu bleu !
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