Les grands, les beaux roseaux, leur souplesse, leur résistance au vent le plus fort, leurs plumeaux duveteux, dont la couleur évoque la pierre de lune, les roseaux au bord du lac d'Orient, le plus grand lac artificiel de France, notre photographe si sensible à la flore, à la faune, nous les a rapportés d'un voyage, comme une peinture où l'arrière- plan légèrement flouté poétise le paysage...
Le vent caresse les hautes graminées qui se plaisent dans ce sol gorgé d'eau, refuge d'une multitude d'oiseaux et de petits mammifères. Les roseaux ont orné les bouquets secs de nos grands-mères comme l'herbe de la pampa, ils ont été matériau de construction des cabanes en Camargue, ils sont utilisés pour filtrer l'eau...Et ils ont inspiré les philosophes et les poètes pour leur séduisante élégance, leur force et leur fragilité.
En ce 8 mars, journée des droits de la femme, le choix de Julien n'est pas anodin, comme un hommage à la femme, à ses capacités de résistance malgré les houles de l'adversité, à son courage, à sa vaillance quotidienne depuis tant de siècles...
J'ai publié la photo le 7 mars, juste pour l'esthétique du roseau et un peu de symbolique, il est vrai, dans le titre. Je ne pensais pas encore au 8 mars, plongé dans le présent de mon week-end et loin des actualités, même commémoratives... Je vais réparer immédiatement cette muflerie en publiant avant minuit une photo dont le thème me semble évoquer cette journée !
Merci Julien! Il est vrai que chaque photographie, au moment où elle se place comme la pièce d'un puzzle dans le canevas du jour entraîne des souvenirs, des impressions, des associations imprégnés aussi des circonstances...C'est une bonne chose d'échapper aux actualités!
Les grands, les beaux roseaux, leur souplesse, leur résistance au vent le plus fort, leurs plumeaux duveteux, dont la couleur évoque la pierre de lune, les roseaux au bord du lac d'Orient, le plus grand lac artificiel de France, notre photographe si sensible à la flore, à la faune, nous les a rapportés d'un voyage, comme une peinture où l'arrière- plan légèrement flouté poétise le paysage...
RépondreSupprimerLe vent caresse les hautes graminées qui se plaisent dans ce sol gorgé d'eau, refuge d'une multitude d'oiseaux et de petits mammifères.
Les roseaux ont orné les bouquets secs de nos grands-mères comme l'herbe de la pampa, ils ont été matériau de construction des cabanes en Camargue, ils sont utilisés pour filtrer l'eau...Et ils ont inspiré les philosophes et les poètes pour leur séduisante élégance, leur force et leur fragilité.
En ce 8 mars, journée des droits de la femme, le choix de Julien n'est pas anodin, comme un hommage à la femme, à ses capacités de résistance malgré les houles de l'adversité, à son courage, à sa vaillance quotidienne depuis tant de siècles...
Merci Julien pour cette roselière superbe.
J'ai publié la photo le 7 mars, juste pour l'esthétique du roseau et un peu de symbolique, il est vrai, dans le titre. Je ne pensais pas encore au 8 mars, plongé dans le présent de mon week-end et loin des actualités, même commémoratives... Je vais réparer immédiatement cette muflerie en publiant avant minuit une photo dont le thème me semble évoquer cette journée !
SupprimerMerci Julien! Il est vrai que chaque photographie, au moment où elle se place comme la pièce d'un puzzle dans le canevas du jour entraîne des souvenirs, des impressions, des associations imprégnés aussi des circonstances...C'est une bonne chose d'échapper aux actualités!
RépondreSupprimerLes roseaux dansent , beaucoup de suggestion dans cette photo
RépondreSupprimerChacun(e) y place son imagination...
Supprimeret le chêne?????
RépondreSupprimerTu plies des chênes ? lol
SupprimerDes roseaux sauvages ! Dans un paysage d'évasion...
RépondreSupprimerL'Aube, le début de l'Orient :)
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