Tout commence par l'amour du Prince-Archevêque Wolf Dietrich de Raitenau pour sa bien-aimée, il lui fait construire un château. On est en 1606. Mais ce château subira quelques dommages au cours des siècles dont un incendie... On note au premier plan l'extrême classicisme des jardins à la française, des arabesques parfaites, et au loin les vasques alignées et leurs fleurs écarlates. Tout cela est comme tiré au cordeau, infiniment classique et un peu trop sage. Une sorte de tapis persan végétal dont on imagine la trame éphémère reconduite de saison en saison par des jardiniers obsédés de perfection. Des concerts sont donnés au château Mirabell (du prénom féminin italien "mirabile" qui signifie "admirable") et des notes de musique viennent se poser sur les parterres fleuris rappelant que Mozart, son père et sa sœur jouèrent dans la grande salle de marbre du château. Notre photographe sait mettre en valeur tous les aspects de Salzbourg et nous entraine sur ses pas avec grâce.
Tout commence par l'amour du Prince-Archevêque Wolf Dietrich de Raitenau pour sa bien-aimée, il lui fait construire un château. On est en 1606. Mais ce château subira quelques dommages au cours des siècles dont un incendie...
RépondreSupprimerOn note au premier plan l'extrême classicisme des jardins à la française, des arabesques parfaites, et au loin les vasques alignées et leurs fleurs écarlates. Tout cela est comme tiré au cordeau, infiniment classique et un peu trop sage. Une sorte de tapis persan végétal dont on imagine la trame éphémère reconduite de saison en saison par des jardiniers obsédés de perfection.
Des concerts sont donnés au château Mirabell (du prénom féminin italien "mirabile" qui signifie "admirable") et des notes de musique viennent se poser sur les parterres fleuris rappelant que Mozart, son père et sa sœur jouèrent dans la grande salle de marbre du château.
Notre photographe sait mettre en valeur tous les aspects de Salzbourg et nous entraine sur ses pas avec grâce.
Salzbourg est en effet une ville classique et tirée au cordeau, mais la folie mozartienne vient y ajouter son grain d'originalité !
SupprimerTrès bel angle de vue pour un ensemble au classicisme reposant !
RépondreSupprimerA Salzbourg, comme à Vienne, le classicisme s'érige au rang de religion !
Supprimerje n'avais jamais pensé au pluriel d'épiscopal alors tu penses à celui de archiepiscopal!!
RépondreSupprimerJe savais que ça te plairait ;)
SupprimerJ'aime beaucoup le jardin ! Le château moins !
RépondreSupprimer